ya quelques trucs qui arrivent par la poste…. donc comme fait beau mais très froid, je me couvre et sors bricoler.
après déballage:
monté:
fermé:
voila ! plus de poussière et de flotte dans les serrures !!!! elles étaient encore gelées ce matin malgré le silicone pulvérisé dedans il y a quelques semaines
ensuite, on fait des petites morceaux de la serrure du remplissage d’eau propre
et on remonte le tout:
du coup, si il gèle on pourra quand même remplir la flotte !!
je viens de recevoir les futurs « anti brouillard » avant
c’est donné pour 6W/600lm par pièce
mesuré ya quelques minutes, c’est plutôt 300mA donc 4W consommés et ça éclaire franchement pas mal (blanc naturel)
c’est livré avec un bout de double face pour la fixation, et c’est a priori waterproof.
bouton commandé en même temps, avec voyant indicateur (bleu, j’aurais préféré autre chose mais yavait que ça)
je vous passe les détails sur les perçages de trous et passages de fils…
on pose les bandeaux:
je les ai mis de façon a viser bas ! ça sert a rien d’éclabousser les nuages, bien au contraire
on démonte le bouton des anti brouillard d’origine AR
donc de gauche a droite avec la prise dans cette position la (je sais pas si c’est la position du bouton) — masse (pour le témoin dans le bouton) fil marron pour se repérer — « sortie » pour les AB arrière — « entrée » +12 commuté avec les feux de croisement
donc vous voyez assez simplement qu’il est possible de se brancher a droite pour pouvoir allumer les antibrouillard avant seuls ou au milieu pour ne pouvoir allumer les avant que si les arrières le sont
comme le code de la route dit qu’on doit pouvoir mettre les avant quand il pleut et pas les arrière, faut se mettre a droite !
on remet tout en place:
on allume
put@in, font ch*er avec leur LED bleu tuning !!! ça nique les yeux !!! ça va finir avec un bout de chatterton dessus pour le calmer celui la !!!! en plus le bouton est polarisé pour la LED (un coté masse et un coté +12) et évidement c’est pas repéré => essai / erreur
résultat:
et de nuit:
la portée n’est pas énorme (plus court que les codes) mais ça éclaire plutôt bien et surtout sur les cotés, la ou avant c’était très limite (aucune visibilité du bord de la route jusque 5m devant) la ça complète bien.
le père noël a commencé a livrer un peu d’accastillage
photo prise sans aucune autre lumière et sans flash évidement.
ça éclaire plus fort que l’ampoule de 100W qu’on voit au plafond. et c’est assez directionnel (ça éclaire surtout en face, un peu sur les bords et évidement pas du tout a l’arrière)
donc chaque pavé fait 1000lumens (blanc chaud mais a vu de nez, plutôt blanc naturel), pour une conso indiquée de 10W
a l’arrivée les 2 consomment 1.36A
ça fait 2000 lumens (équivalent 170W) pour une conso de 15W. ça ajouté au bandeau (1800 lumens) déjà présent sur la paroi du CC, on devrait être bien !
ça pique les yeux (m’en suis pris un coup en direct a 50cm pendant les tests, quasi aveugle pendant 20secondes)
un peu de bidouille intérieure avec ce que la poste a livré
on commence par tout dépouiller:
on monte le truc dedans
on découpe un cerclage dans un vieux couvercle de boite de ricorée (oui, c’est un compte tour !)
une fois monté
fire !!!!
les restes….
l’horloge ne m’empêchera plus de dormir !!!
ça passe juste (au mm près) et yavait des trous pil poil en face des fixations !
j’ai juste percé le plastoc du fond de compteur pour passer le switch 4/8 cylindre qui dépassait.
j’ai remis la carte par dessus après (l’épaisseur du plastique du fond de compteur fait exactement la hauteur du switch donc ça touche pas a la carte)
yavait même un trou assez gros au travers de la carte pour passer les fils
on aurait dit que c’était prévu pour
PS: juste un « problème » le rétroéclairage fait vraiment kékétuning, ça éclaire trop (a mon avis gênant pour conduire) faut que je le vire (j’ai laissé les ampoules d’origine de l’horloge) ou que je mette une résistance série pour calmer les LED du compte tour
donc 1/ changement du joint sur le mastervac par un neuf c’était pas lui, l’ancien était en bon état a l’intérieur, l’extérieur seul était craquelé. c’était le clapet qui a une légère fuite. aussitôt remplacé par celui de l’épave qui était étanche.
du coup, c’était pas une prise d’air…. tant pis, au moins c’est neuf.
2/ fabrication d’un équilibreur de charge a 5cts:
un interrupteur de recup, une diode Schottky, et la batterie du porteur se charge avec le panneau sans risque qu’en cas de court jus d’une des batterie, ça nique la seconde. légère perte de tension de charge due a la diode (0.5V) mais vu que c’est juste pour maintenir un peu de charge et éviter qu’elle se vide l’hiver, c’est amplement suffisant.
on colle les plaques chauffantes au dos du déflecteur du truma vent (pour que ça chauffe plutôt coté chauffage que vers le placard):
on protège les câbles elec au niveau de la ou ils traverseront la tôle pour éviter les court circuits:
un domino, un bout de fil avec une prise pour les essais:
on remonte le tout (photo prise en fonctionnement):
donc voila, c’était pour faire un petit chauffage électrique pour maintenir la chaleur quand on est relié au 220 sans bouffer du gaz
(j’ai toujours dans l’idée d’aller faire du caravaneige)
ça prend 0 place, niveau poids, ça doit être 300 grammes. et ça consomme 2,5A a fond (j’ai prévu un mode demi puissance) donc pas de risque de faire sauter la borne dans les campings.
et ça a l’air efficace !! j’ai laissé tourner ce matin pendant 30mn, j’ai gagné plusieurs degrés (passé de -2 a 1° a l’intérieur)
ya un inconvénient, il faut pas oublier de mettre en route la VMC sinon les plaques surchauffent. je vais aussi monter des petits radiateurs autocollants pour augmenter les échanges thermiques. Actuellement (même si c’est fait pour, 300°C en crête, 270 en continu) les plaques sont très chaudes par rapport au flux d’air qui passe, signe d’un mauvais échange.
on met en place 2 insert de chaque coté de la plaque chauffante
un vieux radiateur de processeur full alu et bien large enduit de pate thermique
et on fait pareil de l’autre coté (ya moins de place, un peu plus compliqué)
ça marche du feu de dieu !!
les plaques sont beaucoup plus froides, les radiateurs sont très chauds pil poil le but escompté
et ça chauffe plus vite (meilleur échange thermique)
j’ai pris 3-4° en 1h
j’ai aussi fait une « terre » sur la tôle et le corps du chauffage gaz (en fait j’ai surtout nettoyé celle qui y était, retrouvée par hasard.
reste plus que la sécurité surchauffe avec le thermoswitch
un peu d’électronique !
c’est un bidouillage pour avoir un témoin lumineux pour le chauffage (marche/arrêt)
pour ceux qui se posent la question, non, une LED comme ça sur le 220, faut pas une simple résistance !!!
le schéma électrique:
j’ai remplacé la résistance de 220ohms par une 2.2kohms pour limiter la luminosité et pas que ce soit gênant la nuit.
la LED sera ensuite déporté pour être visible et le montage sera bien camouflé a un endroit inaccessible (ya pas de découplage, donc si ya des doigts qui trainent, ça va piquer sévèrement !!!)
avec le switch de commande
du coup, monté proprement (avec la sécurité thermo switch)
le bouton tiens 6A (2 contacts a l’intérieur) une plaque = 250W donc en gros 1A. donc avec les 2, je pompe 2A
en fait, c’est 6A par contact, donc il peut passer 2500W si ça ne commande qu’un pole la j’ai relié en permanence un commun des plaques, je commande l’autre pole uniquement.
en position 1, j’ai mis des diodes en série sur chaque résistance donc redressement mono alternance, donc demi puissance en position 2, les résistances sont en direct, donc pleine puissance.
j’ai commencé a nettoyer les freins de l’épave qui sont sensés être en bien meilleur état que ceux de l’hymer (sauf maitre cylindre qui est directement parti a la ferraille, il fuyait comme vache qui pisse)
donc j’ai commencé hier par les cylindres arrière, en effet, presque neufs, a peine marqués. du coup ouverts, nettoyés, séchés, un coup de graisse, remontés et mis au sec en attendant que je démonte le train AR de l’Hymer.
aujourd’hui j’ai attaqué les étriers avant…. sur un des étriers, un mal de chien a sortir les pistons a la soufflette. ça sent pas bon !!! une fois sortis, évidement, joints HS, comme d’hab, pistons repoussés alors que pas nettoyés donc les joints racleurs retournés. donc flotte/rouille et ça commence à gripper.
sur le 2eme étrier, impossible de faire bouger un des pistons…. du coup, j’ai découpé une vieille valve de pneu, mis au bon diamètre et je l’ai foutu dans le trou d’arriver de liquide de frein !
un coup de compresseur (6 bars quand même) et il est enfin sorti. évidement, piston HS et je vous parle pas des joints…..
pas mal pour un truc « refait »
PS: le fils de l’ancien proprio de l’épave avait son propre garage
donc en résumé, tout est démonté avec beaucoup de mal, un piston HS les autres très légèrement marqués et tous les joints morts ! je vais commander des joints et pistons neufs
j’ai trouver des kits joints + pistons qui reviennent a un peu moins de 50€ pour tout remettre a neuf (les 2 étriers) je vais pas me priver, c’est a peine plus cher que joints seuls. la sécurité d’abord !!
en attendant la réception des kit de réfection, j’ai démonté les joints du jeu d’étriers de l’épave que je vais remettre à neuf.
ça m’a permis de comprendre pourquoi c’était très dur de faire bouger les pistons dedans
en fait, la gorge la plus à l’extérieur, celle ou il y a le joint racleur, se rempli de rouille !!!!
(un bon mm par endroit, la c’est gratté grossièrement)
du coup, avec la rouille dans le fond, ça fait de la surépaisseur et ça écrase trop le joint. ça combiné avec l’oxyde sur les pistons qui lui aussi fait de la surépaisseur, bah les pistons sont raides a bouger et le joint est détruit dès que ça bouge (les racleurs que j’ai sortis ont la lèvre complètement arrachée), surtout quand on rentre en force les pistons pour changer les plaquettes.
du coup, j’attend de recevoir le kit pour savoir si j’ai les joints internes ou non et donc si je peux ouvrir les demi étriers, ce qui simplifiera grandement le nettoyage.
pour le remontage, je vais bourrer la gorge de graisse freins, et espérer que ça rouille pas tout de suite.
en tous cas, le racleur joue bien son rôle, pas d’oxyde ou de crasse dans la seconde gorge
donc pour les panneaux solaires, il y a 2 types de chargeur/régulateur: MPPT et PWM le but ici est d’expliquer le fonctionnement de chacun, avec les avantages. NB: tous les exemple donnés ci-dessous partent du principe qu’on tourne avec une installation 12V.
on commence par PWM: ce sont en fait de bêtes interrupteurs, qui s’ouvrent lorsque la tension de la batterie dépasse un certain seuil (14.5V environ, parfois programmable), et se ferme en dessous (13.5V, parfois programmable aussi) c’est peu cher (10€ environ), car très simple a fabriquer, peu de composants donc très robuste. ça chauffe un peu (perte lors de la commutation, donc quand ça charge) rendement très variable, de rien a en gros 98%.
pourquoi ???? les panneaux solaires ont tous un point de rendement maximum ou la puissance débitée est optimale, qui dépend des conditions d’ensoleillement. a l’instant T, le panneau peut avoir une puissance max pour une tension de sortie a 16V et 2A par exemple (donc 32W) partons du principe que la batterie est déchargée donc a environ 11V. lorsque le régulateur va charger, comme c’est un interrupteur, la tension du panneau va descendre a 11V (tension de la batterie) mais ne débitera pas plus d’ampères (toujours 2 !!) on aura donc une charge de 22W. et donc un rendement de 22/32=69% second exemple, batterie toujours déchargée mais panneau de 100W dans les meilleures conditions d’ensoleillement 22V, 4.5A: la tension de charge sera toujours a 11V, la tension de la batterie, et le courant a 4.5A. donc 50W de charge. paf…. rendement 50% troisième exemple, c’est le matin tôt, ou nuages, la tension du panneau est a 10V et il peut débiter 0.5A dans ces conditions. bah ça charge pas du tout…. vu que la batterie est elle a 11V. rendement 0% !
bon, tout le monde a compris, PWM c’est pas cher, ça marche mais le rendement est médiocre.
les régulateurs MPPT ce sont des convertisseurs de tension DC-DC avec tension d’entrée auto ajustée. la tension de sortie s’adapte automatiquement au niveau de charge de la batterie (batterie déchargée => 14.5V, batterie chargée 13.7V) ils sont souvent programmables ils sont nettement plus cher (j’y reviendrais plus tard, c’est pas forcement vrai), car plus complexes, plus de composants. du coup, ya plus de chances de tomber en panne…. ça chauffe un peu mais tout le temps (sauf la nuit) rendement quasi constant entre 95% et 98%
on passe aux explications: le convertisseur va ajuster sa tension d’entrée a tous moments pour trouver la courbe de rendement du panneau à l’instant T. il va donc s’adapter aux conditions d’ensoleillement. reprenons nos exemples
a l’instant T, le panneau a une puissance max pour une tension de sortie a 16V et 2A par exemple (donc 32W) la batterie est toujours déchargée donc a environ 11V. lorsque le régulateur va charger, il va convertir 16V 2A (32W) en une tension de 11V, avec toujours une puissance de 32W, donc le courant sera de 2.9A (en fait un tout petit peu moins, il y a toujours des pertes dans le régulateur, environ 2%) on voit tout de suite que ça va charger plus vite, le courant est de 2.9A contre 2A avec un PWM. second exemple, batterie toujours déchargée mais panneau de 100W dans les meilleures conditions d’ensoleillement 22V, 4.5A: la tension de charge sera toujours a 11V, les 100W en entrée seront donc convertis en 98W en sortie (rendement du régulateur) donc 8.9A on charge 2 fois plus vite qu’en PWM !!! troisième exemple, c’est le matin tôt, ou nuages, la tension du panneau est a 10V et il peut débiter 0.5A dans ces conditions. 5W débités par le panneau, c’est peu… mais après conversion dans le régulateur, ça charge !!! 5W*98%/11V=0.45A. eh oui !!! même si le temps est pourri, ça charge la batterie (très peu OK, mais c’est mieux que rien)
autre point, une fois la batterie chargée, la tension de maintiens est constante a 13.7V. contrairement eu PWM ou la tension oscille vu que « l’interrupteur » passe son temps a s’ouvrir/fermer. pas top……
et dernier point: un régulateur MPPT ne va pas débiter de courant instantanément….. il va mettre un temps plus ou moins long a trouver le point de rendement max du panneau a la mise sous tension ça se fait tout simplement en cour-circuitant le panneau et en mesurant l’intensité qui passe. pendant ce temps, ça charge pas (étage de sortie coupé) une fois le point trouvé, la sortie est activé et vous verrez du courant passer
pendant le reste de la journée, tant que le panneau n’est pas déconnecté, la recherche est faite dynamiquement, vu que les conditions ne changent pas du tout au tout instantanément. il recherche en fait autour du point de rendement max précèdent si c’est pas mieux (il ne re-parcours pas la courbe entière) le rendement de 95-98% moyen tins donc compte du fait qu’a la mise sous tension il ne débite rien et que le rendement peut ne pas être optimal lorsqu’il se déplace sur la courbe ensuite.
Bon…. le choix est vite fait !!!
Mais pourquoi alors les PWM existent ??? comme je l’ai dit, c’est très robuste. ça vaut 10€ un MPPT, c’est 50 au minimum (pour un 10A)!!!! dans certains cas, le régulateur serait plus cher que le panneau (panneaux peu puissants, justement la ou on voudrais éviter les pertes…)
« oui mais j’ai vu que sur eBay/amazon ya des MPPT a 10€ » désolé mais ce n’en sont pas. les chinois ont compris qu’il y avait du pognon a se faire et donne le nom MPPT au modèle. ça reste de la technologie PMW derrière
pour faire simple, le « premier prix » en vrai MPPT c’est chez EPEVER, modèle Tracer A ça vaut grossièrement 50€, c’est programmable (au travers d’un câble de communication qui vaut quelques € et un PC)
si vous cherchez bien, il y a (aujourd’hui 19/11/2017) 2 autres modèles un peu moins cher qui sont des vrais MPPT: UEIUA CPY-2410 (pour 10A) UEIUA CPT-LA10 (toujours 10A) le problème de ces 2 régulateurs sont que pour l’un, le rendement est médiocre et/car il chauffe beaucoup (probablement des composants sous dimensionnés donc durée de vie certainement courte). Et pour l’autre, il y a des courants de fuite entre la batterie et le panneau (donc possibilité de surtension de la batterie et surtout la batterie se décharge dans le panneau la nuit). on a donc a l’arrivée un rendement très moyen sur 24h (malgré un rendement correct en instantané)
pour les anglophones, je vous conseille de regarder la chaine YouTube de Adam Welch qui a testé plusieurs produit et fait des tests en temps réel de comparaison PWM/MPPT
MAJ 14 avril 2018
j’ai (enfin) reçu l’interface PC pour mon contrôleur MPPT.
on reprend l’histoire depuis le début.
de base, j’ai un kit panneau 100W + régul PWM
je me suis aperçu cet hiver que les batteries avaient tendance a dégazer (formation de bulles sur la paroi, coup de bol ma batterie est transparente)
du coup, même si c’était prévu depuis le début, ça a déclenché l’achat d’un régulateur MPPT (un vrai, cf premier message ici) qui est en plus programmable.
donc déjà, rien qu’avec l’installation du MPPT ça dégazait nettement moins (la tension crête était moins élevée que le PWM qui envoyait 15V avant d’ouvrir et de laisser le tension redescendre a 13.5)
mais il y en avait encore un peu… explication: de base, le régulateur est programmé pour des batteries GEL, donc avec une tension de flottement légèrement plus élevée qu’un électrolyte liquide (13.9-14 au lieu de 13.6-13.7)
ensuite, tous les matins au lever du soleil, le régulateur était en mode charge « bulk » pendant 2h, donc a fond (14.5), même si la batterie était déjà chargée vu que pas de décharge pendant la nuit.
j’ai pu reprogrammer tout ça avec l’interface PC:
c’est la qu’on comprend pourquoi j’avais cherché les tension nominales de charge/flottement/équalisation des batteries que j’ai mis dans un autre sujet 😉
on arrive ensuite à ça:
NB: la valeur de tension de charge n’est pas celle programmée, normal, j’ai aussi une sonde de T° sur la batterie qui permet de compenser la tension de charge (qui doit baisser avec la T°) on voit sur le tableau la T° de la batterie a 12°, du coup, il faut 13.7V en stand-by, pour 13.5 programmés a 25°C 😉 NB2: on voit qu’il y a plus de courant en sortie qu’on entrée, signe que c’est bien un vrai MPPT !!
on a même droit a des courbes de production/charge/consommation
voila, normalement plus de dégazage et durée de vie de la batterie prolongée !!
donc pour info, régulateur epever tracer 1210A, trouvable a un tout petit peu plus de 40€ sur eBay. la sonde de T° RTS300R47K3.81A, payée « plein pot » 4€, en afit c’est une simple thermistance 47kohms, trouvable a quelques dizaines de centimes en magasin d’électronique. interface PC, fabriquée a partir d’un convertisseur USB/RS485 a 1€ sur eBay + 1 vieux câble réseau.
le logiciel est gratuit et téléchargeable sur le site du fabriquant.
info pratique: ce régulateur (10A) supporte en fait nettement plus, c’est un bridage « logiciel » ils l’indiquent même dans la doc. ce qui a un 2eme effet kisscool plutôt pas mal, c’est qu’on peut mettre plus de panneaux que les 120W nominaux (en 12V) pour avoir une production élevée en hiver ! en été, même si les panneaux sont capable de produire disons 200W, le régulateur ne cramera pas et limitera a 120W en sortie. ou par exemple de mettre 2 panneaux orientés différemment pour avoir un rendement max matin et soir, sans que ça crame a midi ou encore de mettre 2 panneaux en série pour sortir plus vite de la puissance avec un très faible ensoleillement les régulateurs PWM n’ont pas cette capacité et crament si trop de puissance en entrée.
précisément:
ça supporte 390W / 92V en entrée max pour le modèle 10A (130W / 12V en sortie) !